Rechercher dans ce blog

mercredi 2 novembre 2016

Jours des Morts, commémoration nationale

Une fête religieuse fait de l'ombre à son lendemain, hélas. Aujourd'hui, nous nous souvenons de nos disparus. Ceux que nous avons connus, et qui ne sont plus là. Ceux que des amis ont connus, et qui sont désormais absents. Ceux que des irresponsables, des fous parfois, ont supprimés de la Vie. Ou pire, fait supprimer par d'autres. Les exemples abondent.

Il y a aussi ceux qui se croyaient "indispensables" : les croque-morts sont obligés de les évincer des cimetières, parfois, tant ils sont nombreux, pour en mettre d'autres tout aussi "indispensables" à la place.  La Terre continue de tourner, les réussites d'arriver parfois, les échecs aussi, bien plus souvent.

Le Monde avance sur ces carrières dont les plus tonitruantes sont aussi parfois les plus vite oubliées. L'important, après, ne sont-ce pas les vivants ?


2 commentaires:

  1. Le vivant d'abord, diantre ! Parce que ceux qui sont morts ne le sont pas dans nos coeurs, puisque d'une certaine façon ils voyagent entre coeur et esprit dans le grand livre de nos pensées.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bien sûr, cher Rodo : nos défunts ne le sont pas, alors que d'autres qui s'agitent toujours comme de grands épouvantails agités par le vent, sont morts de chez mort depuis longtemps. La charogne est dans la tête, là-haut !

      Supprimer